Nom : Sho'oyu
Prénom : Tamari
Race : Cathar
Âge : 30/31 ans
Rang/Classe (RP) : Chevalier jedi / Ombre
Alignement : Une jolie lumière un peu grisaillante sur certaines choses.
Description physiques : Tamari est une cathar à la fourrure brune légèrement striée. Plutôt mince, sa fourrure épaisse et douce lui donne une carrure légèrement plus imposante, mais de peu. Malgré ses airs débonnaires, sa musculature longue et fine mais puissante lui permet d'étreindre joyeusement ceux qu'elle apprécie et de lacérer à coups de griffes ses détracteurs.
Caractère : Joyeuse, amicale, farceuse et insouciante sont autant de qualificatifs qui semblent lui convenir. D'un naturel chaleureux, elle adore manifester son affection à ses proches en toute simplicité. Toujours partante pour bien manger, dormir ou discuter longuement, elle lasse parfois les personnalités les plus ternes qui l'entourent. Elle s'oppose férocement à l'ordre jedi de Tython, ne supportant pas sa doctrine hypocrite, perverse et décadente, elle ne rate que peu d'occasion de faire part de son opinion à ce sujet. Dotée d'un sens moral très fort, rigide même, elle possède néanmoins un code de valeur qui laisse perplexe la plupart des gens. Libre penseuse, elle abhorre le fait de tenter de contrôler autrui ou de se faire contrôler, considérant qu'il s'agit là d'une atteinte à l'identité et à la liberté fondamentale de l'individu.
Arme (décrire son arme) : Double sabre (à redirection énergétique d'allongement). Tamari s'est fabriqué un nouveau sabre suite aux changements récents dans sa vie, utilisant pour ce faire un cristal inhabituel trouvé grâce à l'aide de Nicci. Sa lame dorée reflétant le côté chaleureux de la cathar.
Pouvoirs (pour les FU) : Camouflage d'ombre.
Forme de combat (pour les jedi) : Shii-cho (un peu modifié), calin intensif.
Points forts : une fourrure douce, des griffes et crocs acérés, une bonne humeur à toute épreuve et l'amour de la liberté. Ne se bat pas réellement sauf cas de force majeurs qui requièrent un engagement total et mortel : évite donc les combats inutiles.
points faibles : Ne supporte pas la tyrannie et l'autorité, les percevant comme autant de tentative d'aliénation de l'individu.
Histoire (facultatif) :
Tamari est la fille unique d'un couple de cathars réfugiés. Ses parents se sont installés sur Corellia et y ont monté une petite entreprise de transport. Les affaires étaient dures et l'annonce faite par un jedi alors qu'ils voyageaient tous ensemble dans le cadre de leur emploi les soulagea : leur petite fille pourrait être formée en tant que jedi, une enfance loin des difficultés de la vie l'attendait. C'est du moins ce qu'ils espéraient pour elle dans les difficultés financières auxquelles ils faisaient face à l'époque.
Emportée pour être formée, Tamari passa la quinzaine d'années suivante à progresser sous la férule d'un maitre intransigeant. Mais alors que son caractère s'affirmait d'année en année, l'ordre lui apparaissait de plus en plus néfaste. Persuadée que l'ordre jedi s'était éloigné de ses idéaux, de ses principes, pour n'être plus qu'une secte où la tyrannie régnait en maitre à travers une compréhension perverse de sa structure, de ses enseignements, de l'évolution de son code, Tamari s'en détacha progressivement jusqu'à sa rencontre avec Sanaki.
Les propos de la twi'lek sur l'ordre corellien attirèrent son attention vers cette enclave dissidente qui avait pris ses distances avec les jedis décadents. Résolue à quitter l'ordre, elle décida de tenter sa chance sur ce monde où elle était née mais qu'elle ne connaissait pas. Satisfaite de ce nouvel ordre qui lui convenait davantage, de cette planète qu'elle appréciait, Tamari s'installa définitivement sur Corellia et s'imprégna de cette mentalité farouchement indépendante propre à ses habitants qui trouvait un écho si fort en elle.
Suite à un différent, Tamari a pris la décision de quitter l'Enclave avec son époux le tempsde méditer sur certains aspects de celle-ci.
[5 ans plus tard]
Tamari vit une vie heureuse avec sa petite fille, Talya, et son époux. Elle aide à l'occasion différents groupes de rebelles, mais sans jamais s'impliquer totalement, ne voulant pas plonger sa famille dans les affres de la guerilla. son aide se fait donc ponctuelle et toujours de manière prudente.
